Parcours ouvert
Distance
Dénivelé positif
Dénivelé négatif
Altitude min.
Altitude max.
Distance
10.14 km
Dénivelé positif
98 m
Dénivelé négatif
98 m
Altitude min.
23 m
Altitude max.
73 m
1
Grande Arche de la Défense
Dominant le quartier d’affaires de La Défense, en partie situé sur le territoire de Puteaux, la Grande Arche incarne la modernité architecturale et marque l’aboutissement de l’axe historique partant du Louvre.
2
Bassin Takis
Situé à l’entrée du quartier de La Défense, sur le territoire de la ville de Puteaux, le Bassin Takis est un espace emblématique où l’art contemporain dialogue avec l’urbanisme. Créé par l’artiste grec Takis, ce plan d’eau est ponctué de hautes tiges métalliques colorées et mobiles, qui réagissent au vent et à la lumière.
Ce lieu unique offre aux visiteurs une parenthèse poétique et apaisante au cœur de l’effervescence du quartier d’affaires.
3
Fontaine Bellini
Nichée dans le quartier résidentiel de Puteaux, à proximité de l’avenue du Général de Gaulle, la Fontaine Bellini est un charmant élément du patrimoine local, entouré d’un petit jardin paisible. Inspirée du style classique, elle apporte une touche d’élégance et de fraîcheur au paysage urbain. Véritable lieu de passage pour les riverains, la Fontaine Bellini incarne le souci de la ville de préserver des espaces verts de qualité au cœur de ses quartiers.
4
Passerelle Coty
La Passerelle Coty relie en toute sécurité les quartiers résidentiels de Puteaux aux berges de Seine, offrant un passage piétonnier au-dessus des voies de circulation. Fonctionnelle et discrète, elle s’intègre harmonieusement dans le paysage urbain tout en facilitant les mobilités douces. Fréquentée au quotidien par les promeneurs et les riverains, la passerelle symbolise l’engagement de la ville en faveur d’un espace public accessible, connecté et apaisé.
5
La Roseraie
La roseraie fait référence à l’ancienne propriété de Monsieur de Rothschild, située sur l’ile, et qui y cultivait des roses, mais aussi et surtout à la rose de Puteaux, nommée Rosa damascena ou Rose de Damas. Cette rose était cultivée à Puteaux au XIX e siècle et était très recherchée par les pharmaciens et les parfumeurs. Ses vertus thérapeutiques provenaient de son suc extrait des pétales qui entrait dans la composition de collyres. Sa fragrance particulière attirait les parfumeurs qui en distillaient une huile essentielle. Aujourd’hui, la roseraie compte 1390 rosiers buissons, tiges, lianes et grimpants, représentant 110 variétés différentes, principalement modernes.
6
Jardin du Sud
Jardins aux accents méridionaux confirmés par la présence de palmiers, figuiers, oliviers et de plantes méditerranéennes. En son centre un bassin à la couleur bleue Majorelle.
7
Square des Martyrs de la Résistance
Situé face à la gare de Puteaux, le square des Martyrs de la Résistance a été initialement aménagé par la ville en 1937, à la même époque que la construction de l’école Marius Jacotot et la rectification du profil de la rue de la République. L’emprise foncière était jusqu’alors incluse dans la propriété Charles Lorilleux. En 1970 est installé au centre de ce square un monument dédié aux martyrs de la Résistance réalisé par le sculpteur Jean-Jacques Saebler, afin de créer un lieu de rassemblement pour les futures commémorations. Entouré de peupliers, platanes et pins et cèdres, le monument, qui porte gravé dans le marbre le nom des résistants de Puteaux morts durant le second conflit mondial, est également porteur d’une symbolique. Ainsi, la flèche centrale représente le sommet du sacrifice, la blancheur des éléments la pureté de l’idéal et le cube la valeur de la vie.
8
Parc du Moulin
Ce parc arboré tire son nom de la présence en son sein du Moulin de Chantecoq, le plus ancien Moulin des Hauts-de-Seine. Ce moulin, à l’origine en bois, aurait été construit en 1648 par Michel Langlois, Contrôleur Ordinaire Provincial des Guerres sous Louis XIV. Reconstruit dans le courant du XVIIIe siècle en moellons, il forme une tour cylindrique surmontée d’un toit conique. Des dépendances, dont la maison du meunier, lui ont été ajoutées. Ce moulin à vent doté de quatre ailes a servi à moudre le blé de la population locale pendant plus de deux siècles. Dès 1823, Pierre Lorilleux y installe une fabrique d’encres d’imprimerie. Devenu par la suite propriétaire du bâtiment et des dépendances, il en fait le point de départ de ses usines sur Puteaux et l’emblème de sa société à travers le monde. Restauré une première fois en 1990 par la municipalité qui en devient propriétaire en 1979, il fait à nouveau l’objet de travaux en 2016 pour devenir une résidence d’artistes.
9
Jardin des Bergères
Le Jardin des Bergères est un véritable havre de verdure niché au cœur du quartier éponyme, à Puteaux. Entièrement repensé dans le cadre du réaménagement urbain de la zone, il offre aux habitants un espace paysager moderne et convivial, propice à la détente, à la promenade et aux jeux en famille. Allées arborées, pelouses accessibles, aires de jeux et mobilier urbain élégant en font un lieu de vie agréable, reflet de l’engagement de la ville pour un cadre de vie durable et harmonieux.
10
Jardin d’Eden
Situé au cœur de Puteaux, le Jardin d’Eden est un espace paysager élégant et intimiste, qui invite à la flânerie et à la contemplation. Véritable écrin de verdure en milieu urbain, ce jardin soigneusement aménagé mêle essences végétales variées, cheminements sinueux et espaces de repos ombragés. Pensé comme un lieu de calme et d’inspiration, il offre aux habitants une parenthèse poétique, en plein centre-ville, loin de l’agitation quotidienne.
La roseraie fait référence à l’ancienne propriété de Monsieur de Rothschild, située sur l’ile, et qui y cultivait des roses, mais aussi et surtout à la rose de Puteaux, nommée Rosa damascena ou Rose de Damas. Cette rose était cultivée à Puteaux au XIX e siècle et était très recherchée par les pharmaciens et les parfumeurs. Ses vertus thérapeutiques provenaient de son suc extrait des pétales qui entrait dans la composition de collyres. Sa fragrance particulière attirait les parfumeurs qui en distillaient une huile essentielle. Aujourd’hui, la roseraie compte 1390 rosiers buissons, tiges, lianes et grimpants, représentant 110 variétés différentes, principalement modernes.
Jardins aux accents méridionaux confirmés par la présence de palmiers, figuiers, oliviers et de plantes méditerranéennes. En son centre un bassin à la couleur bleue Majorelle.
Situé face à la gare de Puteaux, le square des Martyrs de la Résistance a été initialement aménagé par la ville en 1937, à la même époque que la construction de l’école Marius Jacotot et la rectification du profil de la rue de la République. L’emprise foncière était jusqu’alors incluse dans la propriété Charles Lorilleux. En 1970 est installé au centre de ce square un monument dédié aux martyrs de la Résistance réalisé par le sculpteur Jean-Jacques Saebler, afin de créer un lieu de rassemblement pour les futures commémorations. Entouré de peupliers, platanes et pins et cèdres, le monument, qui porte gravé dans le marbre le nom des résistants de Puteaux morts durant le second conflit mondial, est également porteur d’une symbolique. Ainsi, la flèche centrale représente le sommet du sacrifice, la blancheur des éléments la pureté de l’idéal et le cube la valeur de la vie.
Ce parc arboré tire son nom de la présence en son sein du Moulin de Chantecoq, le plus ancien Moulin des Hauts-de-Seine. Ce moulin, à l’origine en bois, aurait été construit en 1648 par Michel Langlois, Contrôleur Ordinaire Provincial des Guerres sous Louis XIV. Reconstruit dans le courant du XVIIIe siècle en moellons, il forme une tour cylindrique surmontée d’un toit conique. Des dépendances, dont la maison du meunier, lui ont été ajoutées. Ce moulin à vent doté de quatre ailes a servi à moudre le blé de la population locale pendant plus de deux siècles. Dès 1823, Pierre Lorilleux y installe une fabrique d’encres d’imprimerie. Devenu par la suite propriétaire du bâtiment et des dépendances, il en fait le point de départ de ses usines sur Puteaux et l’emblème de sa société à travers le monde. Restauré une première fois en 1990 par la municipalité qui en devient propriétaire en 1979, il fait à nouveau l’objet de travaux en 2016 pour devenir une résidence d’artistes.

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