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10.14 km
Dénivelé positif
98 m
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98 m
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23 m
Altitude max.
73 m
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Esplanade de l’Hôtel de Ville
Insérée dans un écrin arboré constitué de platanes taillés en rideaux et érables argentés à feuilles laciniées, l’esplanade de l’Hôtel de Ville est marquée par un bassin et ses jets d’eau animés. Ceux-ci répondent à deux parterres formels, alternant bordures taillées et massifs fleuris. Chaque saison voit ainsi arriver de nouvelles couleurs et formes, offrant ainsi aux passants un décor renouvelé. Côté Rue de la République, on note la présence d’un imposant cèdre pleureur, et de plusieurs palmiers de Chine.
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Place Simone et Antoine Veil
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Square de l’Hôtel de Ville
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Maison de la Mode
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Jardin des Camélias
Le jardin des camélias est un hommage à l’amitié franco-italienne et au jumelage de Puteaux avec la ville de Velletri datant de 1958. Rappelant le style italien, le jardin est composé autour d’une allée alternant sculptures et camélias tiges importés directement de Velletri. La contre-allée, plus calme, est équipée de jeux pour enfants et d’un terrain de pétanque ombré par des tilleuls de Henry.
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Passage des Roses
Inauguré en 2012, le Passage des Roses, reliant la rue Roque de Fillol à la rue Rousselle, a été réalisé afin d’apporter un espace de repos et de détente au sein du quartier. Cet écrin de 450 m², qui rappelle les tracés de Le Nôtre, a le charme des jardins formels du XIXe siècle avec ses jeux de treillages, sa gloriette couverte de rosiers grimpants, ses bordures taillées et sa fontaine provençale. Côté Roque de Fillol, les promeneurs remarqueront l’installation d’un olivier, symbole de paix, suspendu dans une coque végétale en forme de graine.
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Ile de Puteaux
Jusqu’au début du XXe siècle, l’île de Puteaux est en fait deux îles ensuite réunies : l’île principale, et une plus petite, l’île du pont, du niveau du pont de Neuilly. Dès le XIXe siècle, l’île a une vocation sportive avec l’installation du Cercle de la Société sportive et d’un club de tennis en 1886. En 1917, le parfumeur Coty fait construire une fabrique de jouets puis une usine de flacons de parfums. En 1937, la ville de Puteaux devient propriétaire d’une grande partie de l’île et y installe une piscine. En 1942, Mme Lebaudy fait don à la municipalité de ses terrains qui deviennent plus tard le parc Lebaudy.
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Eglise Notre-Dame-de-Pitié
En 1509, l’abbé de Saint-Germain-des-Prés donne l’autorisation de construire une chapelle à Puteaux. Le village est alors rattaché à la paroisse de Suresnes ; il faut en effet attendre 1717 pour que Puteaux devienne une paroisse indépendante. L’église subit plusieurs transformations et améliorations, comme l’ajout de vitraux au XVIe siècle, ou d’une tour en forme de clocher au XVIIe siècle (aujourd’hui démolie). Les cloches disparaissent pendant la Révolution. Il faut attendre le milieu du XIXe siècle pour que de nouvelles réapparaissent. À partir de 1934 et de l’ouverture de l’église Sainte-Mathilde, le bâtiment est laissé à l’abandon, puis fermé au public en 1946. Son classement aux Monuments historiques en 1975 sauve l’église de la démolition.
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Théâtre
Jusqu’au début du XXe siècle, la municipalité loue une salle des fêtes à un particulier : le Casino. Puis, en 1909, elle décide de construire sa propre salle. Le choix se porte sur la rue Henri Martin. Les travaux commencent en 1913 sous la direction de l’architecte Léopold Bevière, et se terminent en mars 1921. La salle est alors appelée « salle des fêtes ». C’est en 1965 que le bâtiment est réaménagé en théâtre, et en 1966 qu’il prend le nom de Théâtre des Hauts-de-Seine, avant de devenir le Théâtre de Puteaux en 2018.
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Square du Théatre de Puteaux
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Jardin Japonais
Le Jardin japonais développe sur 510 m², une ambiance asiatique. Le mobilier et le pont de bois laqué rouge rappelle les toriis japonais. La fontaine est ornée de galets, et les palissades sont constituées de bambous. Côté végétation, les bambous, les azalées, les rhododendrons et les érables du Japon rivalisent avec les pins taillés en nuage rappelant les niwakis, ces arbres taillés selon l’ancestrale tradition japonaise dont le mot est issu des deux racines Niwa signifiant « jardin » et ki « arbre » en japonais.
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Parc du conservatoire JB Lully
Ce parc se situe sur la toiture du parc de stationnement souterrain éponyme. Il propose en toute saison de nombreux jeux d’enfants en bois en forme d’instruments de musique géants. De nombreuses fontaines sèches permettent de se rafraichir dès les beaux jours. Un « arbre qui pleure » fait la joie des enfants. Côté végétation, les Lilas des Indes disputent les plus belles floraisons avec les fruitiers à fleurs et les camélias d’automne.
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Square William Levy
Le square William Lévy constitue le fond de perspective du boulevard Richard Wallace. Compte tenu du dénivelé naturel du terrain, il est visible depuis le Pont de Puteaux. Un mémorial aux Combattants d’Afrique du Nord est dominé par un cèdre de l’Atlas majestueux.
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Moulin de Chantecoq
Le moulin de Chantecoq est construit au milieu du XVIIe siècle sur la butte du même nom. D’abord en bois, il est reconstruit en moellons dans le courant du XVIIIe siècle. Doté de quatre ailes, il sert à moudre le blé. Pendant la Révolution, il semblerait qu’une meunière républicaine y ait été pendue pour ses idéaux… Le moulin devient néanmoins propriété de la ville. Il est exploité jusqu’en 1820, puis laissé à l’abandon et enfin loué par l’industriel Pierre Lorilleux qui installe une fabrique d’encres aux alentours. Suite à la fermeture de l’entreprise Lorilleux, le moulin est donné en 1979 à la ville qui le restaure.
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Parc Offenbach
Le parc Offenbach rend hommage au jumelage avec la ville allemande du même nom, jumelée avec Puteaux depuis avril 1955. En matière de jumelage, on notera la présence d’une ancienne table d’orientation en pierre, œuvre du sculpteur Henry, rappelant le nom et l’emplacement géographique des villes jumelées dans les années 1960 avec Puteaux. Ce parc est issu d’une ancienne propriété privée, dont la maison de maitre a accueilli jusqu’au milieu du XIXe siècle la famille Lorilleux. Cette demeure bourgeoise a ensuite été transformée en 1972 en musée municipal, puis en académie de billard et de bridge à partir de 2002. Le jardin a été entièrement réhabilité par la ville en 2007 et offre au public un jardin des senteurs composé de plantes aromatiques, est agrémenté d’un puits, et d’un auvent sous lequel sont abritées trois cloches de l’Eglise Notre-Dame-de-Pitié datant de 1856. Un parcours de santé est installé en partie arrière, ombré de pins et de chênes verts. Le parc présente aussi plusieurs essences d’arbres, dont des pins sylvestres, des chênes verts, des magnolias à grandes fleurs, des tilleuls, des marronniers et des copalmes d’Amérique.
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Passage des Glycines
Dans un style rappelant les jardins anglais, ce passage reliant la rue Pasteur à la rue des Bas-Rogers offrira au visiteur une promenade sous une pergola couverte de glycine. Le centre du jardin est marqué par un labyrinthe végétal offrant un espace de jeu pour les enfants. Pour ce jardin, la gamme végétale est choisie dans une gamme de violet en lien avec la floraison des glycines.
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Jardin d’Eden
Situé au cœur de Puteaux, le Jardin d’Eden est un espace paysager élégant et intimiste, qui invite à la flânerie et à la contemplation. Véritable écrin de verdure en milieu urbain, ce jardin soigneusement aménagé mêle essences végétales variées, cheminements sinueux et espaces de repos ombragés. Pensé comme un lieu de calme et d’inspiration, il offre aux habitants une parenthèse poétique, en plein centre-ville, loin de l’agitation quotidienne.
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Square André Turpin
Porte d’entrée du quartier Lorilleux depuis la Rose de Cherbourg, le square André Turpin propose, à l’ombre des charmes, une liaison piétonne accompagnée d’hortensias et quelques jeux d’enfants.
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Hôtel de Ville
L’ancienne mairie (aujourd’hui au niveau de l’hôpital) devient trop petite au début du XXe siècle. Il est alors prévu de construire un bâtiment nouveau qui centraliserait les services administratifs (mairie, bibliothèque, poste, justice de paix, pompiers). Son architecture art déco est confiée aux frères Niermans. Les travaux débutent en 1932 et se terminent en juin 1934. Plusieurs grands artistes collaborent : Alfred Janniot pour les bas-reliefs de la façade rue de la République, Dionisi pour la fresque des mariages et Louis Bouquet pour la fresque de l’escalier d’honneur.
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